Je ne sais pas pourquoi, ce matin dans Nord Eclair, un jeune journaliste s’est ému que j’aie pu visiter sans casque le chantier Kipsta, à l’Union, en compagnie du directeur général du groupe. A la lecture de cet écho, j’observe :
> qu’en matière de casque, mon brushing ne craint rien car il est habitué à celui de la moto dont je suis un fervent adepte ;
> que je ne mets jamais de casque sur les chantiers (lors de la première pierre de LMH, il aurait pu l’observer déjà) ;
> et que je ne voyais pas a fortiori l’intérêt d’en mettre un pour monter tout en haut de la tour Kipsta, laquelle… n’a plus de toit et est à l’air libre ! D’autant moins que, en Gaulois wattrelosien que je suis, pas très grand et moustachu, en haut de la tour, je n’avais aucune « peur que le ciel me tombe sur la tête »…